Il fait donc particulièrement chaud, je m'assois paisiblement en terrasse du Factory, sous les arcades. Le lieu n'est pas encore bondé ( les arcades vibrent surtout en soirée ) mais il y a un flux respectable de passants. J'ai mis ma petite jupe à fleurs, celle qui remonte insolemment en haut des cuisses quand on s'assoit... Le tissus est assez rigide, il correspond à ce que je recherchais. J'ai un jeune homme en face de moi, plutôt mignon. Celui ci je l'ai fait rougir, mais pas avec mon entrejambe qu'il ne pouvait apercevoir, juste avec le haut de mon corps ( regard, façon que j'avais de siroter mon diabolo, gestuelle etc ) Je garde les jambes croisées au début, je commande ma boisson, j'essaye d'adopter une attitude plutôt détachée pour me mettre à l'aise. Comme une grande partie du travail est à effectuer dans la tête, je décide de me représenter un certain D. en face de moi... Je décroise les jambes mais les garde collées. Chaleur ou excitation, j'ai la peau moite. Je continue à zieuter de temps en temps le jeune homme de la table d'en face, mais je reste concentrée sur ton image. Tu es assis à côté et d'une main tu écartes mes jambes en attirant ma cuisse droite vers toi. Je me laisse faire, j'abandonne toute réflexion... Les passants n'ont pas l'air de remarquer quoi que ce soit. Je t'imagines alors en face de moi, ta queue brûlante remonte à l'intérieur de mes cuisses mais s'arrête à mi-chemin. Je te supplie de me baiser, de m'empoigner, de me mordre. Tu me dis en chuchotant qu'il faut que j'écarte d'avantage mes jambes, sinon je n'aurai rien... Je m'éxecute donc et reste dans cet état d'attente infernale pendant quelques minutes. Je sentais ta queue juste prête à me pénétrer, mais s'y refusant tant que je n'aurai pas entièrement ouvert mes cuisses... J'ai arrêté mon délire là, ayant entre les jambes suffisamment d'humidité pour railler la sécheresse de notre moi de Mai. Je crois que le groupe des trois serveurs a remarqué quelque chose, pour les reste, les gens dans la rue n'ont pas eu l'air de faire attention à mon manège. Ce fut extrêmement agréable, physiquement autant que mentalement... Nous sommes allés ensembles dans ces lieux et je me suis plue à t'imaginer à nouveau à mes côtés, une main sur ma cuisse... J'aimerai renouveller cet exercice quand les conditions seront idéales, mais l'éxecuter plus lentement, avec plus de précision et d'intensité. Sinon tout était parfait. Merci pour tout ça...
La suite, dans la soirée...
Donc, pour comprendre un peu ma démarche et mon état d'esprit, tu reprends le compte rendu que j'ai écrit sur mon premier test au Factory. Je suis allée sous les arcades avec les mêmes motivations que dans l'après midi, j'avais tout aussi chaud et étais tout aussi excitée à l'idée de l'exercice et même d'avantage, puisque j'allais entendre ta voix.... Une appréhension tenace me torturait également puisque j'ignorais tout de ce que tu allais me dire ou demander au téléphone. Je me suis assise en terrasse du Pam pam et me suis attachée à replonger dans le même état d'esprit que tout à l'heure. J'ai gardé mes yeux fermés pendant toute cette période de concentration. Je te voyais me baiser par derrière sur la table d'à côté, fermement et inexorablement, j'entendais mes propres cris et ai été prise d'une sérieuse envie d'aller visiter manuellement mon entrejambe... Mais je ne bougeais pas, me contentant de garder écartées mes jambes et offerte ma chatte. C'est comme si chaque centimètre carré de mon mon ventre avait été piqueté de braise, comme si chaque pore, chaque artère, chaque organe attendait désespérement le frottement ou l'enfoncement. Cela a suffit à mettre en feu tout ce qui se trouvait entre mon nombril et mes genoux... Ce que nous avons fait tous les deux ensembles par la suite m'a fait un bien fou... J'ai terriblement envie de recommencer. Sur ce petit épisode urbain, j'estime de pas avoir grand chose à écrire, étant donné que nous parlions sur l'instant.... Mais si tu as des questions je les prends ! J'ai en tout cas passé un moment merveilleux...Merci, vraiment merci, tu ne te rends pas compte du bien que tu me fais.
samedi 22 mai 2010
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