mardi 25 mai 2010

Suite ...

Numéro 5
Assise pour de bon ce coup ci. En pantalon, les jambes fermement croisées, le dos cambré, le buste penché en avant. C'est un peu technique, mais ce type de position est apte à procurer du plaisir sans en avoir l'air, rien qu'avec la pression exercée au dessus du clitoris. ( cette zone me donne plus de plaisir que le clitoris lui même d'ailleurs ) Avec ma main j'appuie fortement mais lentement sur cet endroit, en maintenant ma cambrure et mes jambes croisées... Là, c'était beaucoup plus flou, j'imaginais ta langue dans ma bouche, ta main sous ma jupe, ton regard, tes murmures, les assauts de ta queue au seuil de mon vagin, mes fesses parcourues par ta paume... Etc. Comme je te l'avais dit dans la voiture, il n'est parfois pas nécessaire de se monter un scénario pour taper en plein dans le mille, une simple "ambiance", un simple brouillard où se mêlent gestes et paroles peuvent suffir. Se caresser à travers un tissus est très agréable, on sent la chaleur monter, la démangeaison s'accentue sans qu'on soit obliger d'aller très vite et les sensations sont parfois intensifiées. Pour faire monter le plaisir à son comble, j'ai accéléré légèrement tout en gardant en tête l'image du coup du rein initial, véritable moteur à jouissance chez moi... C'est sur ce "coup de grâce" que j'ai atteint le sommet, sans avoir enlevé culotte ou pantalon.

Numéro 6
Pas la peine de s'attarder sur cette tentative à mon avis.... La fatigue commencant à se faire sentir et l'état d'esprit étant passé du jouissif au "sportif", la manoeuvre fut laborieuse. Ma chair était endolorie, à peine réactive, presque douloureuse au niveau du mont de vénus. J'ai insisté un peu, mais ne sentant rien venir de prometteur, je m'en suis tenue là. Le plaisir ne se bâcle pas !

Numéro 7
J'ai laissé passer quelques heures afin de récupérer. Ce fut salvateur. Après ma promenade, j'ai appellé l'ascenceur... Et suis restée dedans un bon quart d'heure ! Adossée à la paroi, une main sur la rambarde, l'autre commencant déjà à fouiller en dessous de ma ceinture... Tu étais avec moi dans cet ascenceur minuscule. Après m'avoir plaquée contre le miroir que mon souffle couvre de buée, tu saisis mes hanches et colle mes fesses contre toi. D'une main, tu commences à t'enfoncer tour à tour dans mon cul puis dans ma chatte. Ton autre main enserre ma nuque et maintient ma tête contre le miroir tandisque tu accélères et approfondi tes allées et venues entre les deux orifices. Je gémis et cherche ta queue à l'aveuglette, ne pouvant me retourner. Tu guides ma main jusqu'à elle, j'essaie de la saisir mais tu me retournes et me prend violemment contre la porte de l'ascenceur, m'achevant en une rude et courte série de coups de reins. Je me suis assise dans l'ascenceur après avoir presque écorché ma chatte à force de frottements... Fatiguée, mais heureuse...

Numéro 8
Sur mon lit. Couchée sur le dos, je décide de suivre tes conseils et de rendre visite à mon cul. Première remarque : Vraiment pas facile d'accès comme lieu ! Pas pratique non plus quand on a des ongles comme moi... Je ne me démonte pas (.....) et parviens néanmoins à pénétrer d'un doigt ( comme disait Jésus, à chaque jour trou suffit sa peine ) dans le temple. Je ne vais pas te mentir, les sensations sont présentes mais neutres. Ce n'est ni de la douleur ni du plaisir. Ce qui est agréable, c'est de combiner cet investissement des lieux avec un titillement du haut de la chatte, titillement que ma main de pianiste a réussi à produire avec son pouce, même c'est assez laborieux... L'idéal serait d'avoir sous la main soit un accessoire, soit une queue ^^ ! La combinaison des deux mouvements, associée à la vision de quelques images plaisantes, fut loin d'être désagréable. L'accélération constante et fébrile que j'ai imprimée m'a permis de jouir même si ce fut moins long que les fois précedentes, sans doute du fait de la fatigue. Au final les sensations furent bonnes, même si j'ai encore du mal à les apprécier pleinement. Je reproduirai l'exercice si tu le veux.

Numéro 9....
Last but not least ! Ma dernière incantation de la journée se fit dans des conditions, il faut le reconnaitre, loin d'être idéales. Il était très tard, j'étais très très très fatiguée et ma peau était douloureuse. Malgré ça, l'état de torpeur dans lequel je me trouvais ajouté à la chaleur de l'air me permirent de trouver en mon ventre les ressources nécessaires à une ultime incantation. Ressources, oui, source, non. L'excitation avait beau être à son comble, je suis restée désespérement sèche pendant tout l'exercice... Mon corps a du épuiser ses stocks ! Cette sécheresse ne m'a pas dérangée, au contraire, elle accentuait chaque fois d'avantage les frictions de ma main... J'étais ce soir là, d'un point de vue psychologique, particulièrement en forme. "La nuit sera chienne" comme disait l'autre ! J'entendais couler dans mon oreille ta voix sourde et lente, je sentais ton souffle, ta langue se glissant partout, tes mains recouvrant, frappant, tordant, embrassant chaque courbe de mon corps... Ma main allait et venait à un rythme effrenné autour de mon clitoris, tant l'envie d'en découdre était grande à cet instant. J'ai accentué la vibration juste au dessus de ce dernier, songeant à ta silhouette massive s'emparant de mes cuisses, mordant mes oreilles, s'enfoncant inexorablement en moi... J'ai joui comme lors de ma première incantation, longuement et profondément. J'ai dormi suite à cela comme il m'arrive rarement de dormir !

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