mardi 25 mai 2010

Numéro 1
Je suis dans mon bain. La chaleur est relativement élevée, je suis toute rouge. L'excitation est présente, je ferme les yeux et glisse ma main entre mes cuisses. Je t'imagine en face de moi. Tu m'allonges sur le carrelage et enfonces lentement deux doigts dans mon vagin tout en m'embrasant littéralement du regard... Ton autre main est posée sur ma gorge, ferme et tendue. Je n'ose pas entreprendre le moindre mouvement ni prononcer le moindre mot. Imperceptiblement, je sens tes doigts aller et venir en moi, ton regard se durcit tandis que je ne peux réprimer un gémissement. (J'opère de même dans mon très réel bain.) Tu continues sans accélerer ni ralentir, impavide. Soudain tu retires ta main et plaque les deux miennes sur le sol en me pénetrant violemment... J'hurle mais tu étouffe mon cri de ta paume en intensifiant ton mouvement. (Je frotte pendant ce temps avec frénésie le haut de ma chatte ) Je vois à ton visage que tu éprouves du plaisir à t'enfoncer toujours plus profondément et fébrilement en moi, je cherche à accentuer le mouvement à l'aide de mon bassin, tout s'accélère et je jouis longuement et pleinement... Comme cela m'était rarement arrivé !

Numéro 2
Après avoir eu le temps de récupérer un peu ( shampoing, application de multiples crèmes, peignage de cheveux etc ) je décide de profiter de l'état de relative chaleur interne dans lequel je me trouve pour remettre ça. Je me penche sur le plan qui soutient le lavabo et comprime ma chatte sur le rebord. Là, je crois que j'aurai pu atteindre avec un peu de concentration un plaisir très honorable sans même bouger, juste en sentant la pression du rebord et en imaginant ta main me fouiller sans ménagements. Je décide néanmoins d'accélérer le processus, je passe ma main par derrière et harcèle mon vagin plus ou moins profondément. Je t'imagine penché sur moi, une main sur ma nuque et l'autre dans mon cul. Je mets quelques minutes à atteindre le sommet de l'exercice et m'en relève bien fatiguée.

Numéro 3
Je suis dans mon lit. Rassasiée et vaguement somnolente. Il fait décidément toujours aussi chaud et lourd, cela accélère le processus de montée en puissance de l'excitation, du moins chez moi! Je décide de me mettre à plat ventre, la main droite placée comme il faut, mais immobile. C'est mon bassin qui imprime le mouvement et fait monter la pression progressivement. Ma deuxième main me sert également, deux de ses doigts viennent remplir ma bouche, je les suce avec appétit. L'image de ta queue dans ma bouche et de tes deux mains qui serrent ma tête, l'amenant à aller plus vite et plus profond... Me fit littéralement fondre. J'accélérais le mouvement de mon bassin sur ma main, tantôt frottant, tantôt empalant ma chatte sur cette dernière. La chaleur aidant, chaque parcelle de peau me démangeait, appellait frictions et griffures. Je me suis retournée brusquement et ai entrepris de frotter de plus en plus rapidement ma chatte, m'arrêtant parfois pour reprendre des forces et reprenant de plus belle en imaginant ta queue aller et venir au même rythme dans ma bouche. J'avais l'impression de t'entendre râler de plaisir, j'allais de plus en plus vite et la démangeaison se faisait de plus en plus forte... J'ai explosé au bout de quelques minutes et me suis recroquevillée, épuisée, sur le côté gauche.

Numéro 4
Je suis assise à mon bureau. Grand fauteuil en cuir noir ( du temps où j'aimais être la patronne ) J'ai toujours aimé être assise pour faire appel au Malin, c'est une position idéale car, si l'on garde les jambes collées, il se forme un pli de peau tout à fait merveilleux juste au dessus du clitoris. Mais, ayant commencé à faire aller et venir ma main lentement entre mes jambes, je décide de changer de position. Je m'agenouille et penche mon buste sur le siège du fauteuil. Une main sur la chatte, l'autre s'agrippant à un accoudoir. Nous sommes dans une chambre tu m'agenouilles de même, face au lit, et plaque le haut de mon corps sur le matelas. Tu saisis mes cheveux et les tires tandis que ta main, lente et lourde, s'abat à plusieurs reprises sur mes fesses. Je gémis et ondule fébrilement tandis que tu te colles derrière moi, ton pantalon encore en place. Tu comprimes mes fesses à ta braguette, je t'implore de me baiser, j'ai à peine la force de détacher mes mots. Tirant mes cheveux en arrière tu restes penché sur moi, susurrant à mon oreille un flot d'insultes à mi chemin entre la fièvre et le contrôle. J'ondule de plus belle et j'entends enfin ton pantalon se baisser... Tu t'enfonces brusquement et profondément dans mon vagin puis tes va-et-viens s'accélèrent inexorablement tandis que ta main continue de frapper mes fesses et ton souffle d'envahir mon oreille. Penchée sur mon fauteuil, la main frottant frénétiquement le haut de ma chatte puis vibrant au seuil de mon vagin, je sens le plaisir monter très rapidement tandis que je vois ta silhouette comprimer inlassablement la mienne au rebord du lit. La jouissance fut intense et plus longue que de coutume.



A suivre ....

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